Olivier l'attendait avec un ombrelle qu'il partagea légèrement, offrant un abri contre les gouttes scintillantes qui tombaient lentement. Ils marchèrent vers le maté le proche, un endroit accueillant avec des fauteuils en velours et des lumières tamisées. En sosie, Victoria observa Olivier. Il semblait divers des autres hommes qu'elle avait rencontrés ; il avait une passion sincère pour le monde colliers, non pas simplement comme un utilisateurs, mais avec une curiosité, qui égalait la sienne. Olivier expliqua qu'il avait succédé de huit ou 9 joyaux de sa grand-mère, bracelets familiale qui avaient entrouvert son revenu pour l'art de la magasin de vente de bijoux. « J'ai toujours été attiré par la manière avec laquelle un simple objet pourrait capter toute une annale, des émotions, des biographies... Comme ce bracelet en plaqué or que vous avez dans votre vitrine. c'est extraordinaire ce que les individus sont prêts à faire conaitre par ces petits attraits, » dit-il, ses yeux pétillants d'enthousiasme. Victoria sirotait son café, surveillant méticuleusement. « il est vrai. toute pièce que nous proposons pourrait se transformer en partie de la légende de cet homme. par exemple, les anneaux fiançailles ou les bracelets prodigués lors de grandes journées. Je prétend que c’est ce qui me satisfait le plus dans mon emploi. n'importe quelle vente a le potentiel de être un beau souvenir pour quelque chose ou quelqu'un. » La conversation se déplaça naturellement bagues aux allées et venues, aux livres, et à leurs rêves. Elle hésita un instant, se référant à sa commande sur internet en panne, puis accepta. Après tout, qui mieux qu'un consoeur de la bijouterie peut appréhender sa console changeant ? Ce qui avait commencé comme un plaisant achat devenait le prélude d'une histoire bien plus précieuse. Victoria verrouilla vite une émission de télévision de la commande en ligne et glissa sa blazer pour sortir sous la pluie légère.
Les jours suivants leur rencontre, Victoria et Olivier se retrouvèrent quotidiennement, s'alliant cafés et longues discussions autour de leur passion banale. Ils décidèrent en outre de réaliser leur fantasme vain de collaboration en découvrir élaborant une ligne de bagues sous le titre de ' Bijouterie Olivier Victoria '. Cette collection serait réservée aux parures pour femmes, mariant histoire et modernité. Ils commencèrent par dessiner des colliers en argent massif, faisant le choix soigneusement chaque gemme pour garantir une qualité parfaite. Olivier, avec son œil pour la finalisation historique, proposa des designs bienvenus de l'ère victorienne, alors que Victoria apportait une touche moderne pour vérifier que chaque pièce reste aussi bien curieuse et propension. Leur première production fut un pendentif en argent, élégant et discret. Victoria insista de sorte à ajouter un petit bijou différent, qui deviendrait leur signature. Ils le baptisèrent ' L'Éclat de Victoria ', un clin d'œil à l'éclat que Victoria vivait dans les yeux d'Olivier chaque fois qu'il parlait de bracelets. Ensuite, ils se concentrèrent sur les boucles d'oreille. Ils choisirent des gabarits délicats, avec de petites perles d'argent massif suspendues qui capturaient la luminosité à chaque mouvement. « J’ai sérieusement adoré notre conversation aujourd’hui, » exprimé Victoria en arrêtant devant la porte de son immeuble. « C’était tonal de parler avec quelqu’un qui succession ma passion pour les parures et leur histoire. »